• Besoin de toi que je ne connais pas, de sentir tes bras tout contre moi,

    De cet amour que tu auras et que tu ne verseras que pour moi.

    Besoin que tu me pousses quand je n’ose pas, besoin que tu me sauves quand je serai en bas…

    Trop longtemps attendu, après cet amour perdu, trop longtemps perdu, ce temps de ta venu.

    Parait-il que je me perds, dans ce passé qui nous rend amer,

    Parait-il que lui m’attend, pendant que je perds mon temps,

    Parait-il qu’il m’aime, et qu’il ne veut que moi.

    Crois –tu mon amour que c’est son tour, que l’heure de mon bonheur a su s’accorder à un autre cœur ?

    L’Exquise douleur de notre amour vient de jouer sa dernière note. Demain je t’attendrai mais la mélodie est ...enfin morte.

    Besoin de toi que je ne connais pas, toi qui parait-il ne veux que moi.

    Sauras-tu sombrer le souvenir de celui qui plus jamais ne m’aimera.

    Et demain je me lèverai, le cœur léger se sentant renaître.

    Trop longtemps perdu le goût d’être, à trop longtemps m’oublier…Mais ;

    je suis enfin prête à regarder mon reflet, pure et libre de te connaître.


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  • J’aimerais être celle qui rêve enfin à son joli destin,

    A la couleur du jour dans ses nuits sans fin.

    Etre celle qui aimait sa vie, ses éclats de rires malgré tous ces cris.

    Puis un jour ce fut son tour,

    De gouter à l’amour,

    De réapprendre à rire, à sourire et à se sentir vivre…mais pour retrouver le pire.

    La vie lui à versé tant de larmes, à ne plus savoir vivre, à ne plus croire en elle et ne plus se voir belle.

    Forte de vivre, j’aimerais être celle qui,

    Par un cœur meurtri,

     À su re-sourire à celui qui l’a détruit.

    J’aimerais être celle qui aime sa vie, qui aime sentir la chaleur du monde, la porter là ;

    Là où elle serait enfin elle.

    Je voudrais lui dire comme elle a tort,

     De noyer ses maux dans l’obscurité du monde,

    Je voudrais qu’elle rallume son âme de toute sa richesse,

    Trop longtemps endormie par peur de ne pas savoir être.

    Je voudrai l’entendre rire aux éclats,

    Et lui dire que ce reflet ce n’est pas toi, ce n’est plus toi.

    Lui dire qu’elle n’a plus à avoir peur,

    Qu’elle ouvre les yeux car il est enfin l’heure,

    De crier à ses démons qu’ils n’auront plus jamais raison de son âme.

    Lui dire qu’il y a des gens là-bas, qui n’attendent que toi,

    Et qu’un jour celle que j’aime sera fière de moi.

    Pousse la porte : regarde comme ton âme est belle.

     

    J’aimerai être celle que je vois, je voudrai être moi.

     

     

     

     

     

    Libre d’un rêve…


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  • Toi debout là, qu’est-ce que tu fous là ? Qui es-tu, parle, crie, pleure! Je ne te connais pas…non,

    Ce n’est pas toi.

     

    Plantée là devant moi je dénigre ce que je vois,

    Inerte, regard vide, âme perdue, je voudrais m’enfuir pour ne plus devoir lui dire qu’elle va encore tomber dans le vide…

     

    Le train part mais elle est là, seule, sur un quai de gare qu’elle ne connaît même pas…

    Son destin vient de s’enfuir en ne laissant qu’une feuille vide… l’enfer en ligne de mire.

    Si elle prend le prochain c’est pour ne pas revoir demain, car demain il sera loin.

     

    C’est un sentiment qu’elle connait bien, perdue dans la foule elle scrute au loin l’ombre du mot fin.

    L’heure tourne, les trains défilent, les gens la bousculent et les sirènes grondent mais elle,

    Plantée là devant moi, elle ne sent rien, n’entend rien…

    Elle veut juste sentir un dernier battement de son cœur…

     

     

    Plantée là devant moi je dénigre ce que je vois,

    Inerte, regard vide, âme perdue, je voudrais m’enfuir pour ne plus devoir lui dire qu’elle va encore tomber dans le vide…

     

    C’est une drôle de vie, qu’elle croyait jolie en ce beau matin de pluie.

    Hier encore il lui disait, que plus jamais elle ne pleurerait

    Qu’ensemble ils seraient forts, et qu’il tenait dans ses bras de l’or.

     

    Mais le train est parti…avec l’homme de sa vie.

    Celui à qui elle voulait dire oui mais la vie a tout détruit.

    C’était perdu d’avance, à perdre sa confiance et avancer dans l’ignorance.

    Sans jamais avoir su reprendre la danse.

     

    Jusqu'à vomir l’histoire qu’elle lui avait offerte,

    Ce désir épuisé qui l’a fait reculer, ce désir acharné auquel il a gouté,

    Et dégueulé jusque sur ses pieds.

     

    L’amour de sa vie, la douce torture de ses désirs,

     Il est son péché mortel qui l’enchaine à son pouvoir…malgré elle.


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  • Silence assourdissant j’attends…

    Sagement que le son sonne…à mes oreilles

    Silence assourdissant j’exige…

    Le soupçon d’un son…

    Sourd ton amour me…Plonge dans l’impatience de tes mots…

     

    Crie-moi !tous ces maux que tu retiens. Crie-moi ! Tous ces jours où tu ne dis rien

    Hurle- moi !hurle-les moi ces mots qui ne viennent pas.

    Pleure moi !pleure moi cet amour que tu n’as pas.

     

    Mal de ce silence j’ère…seule sans honte…

    D’être la fille trahis par un joueur de comédie.

    Guidé par l’exquise valse de mes maux,

    Avide de remplir les moindres recoins de mon cerveau

    Raisonne en moi tes flux de… silences qui en disent long

     

    Chante moi !chante moi cette vie qui brille sans moi

    Balance les !balance moi mes erreurs comme tu as balancé l’amour

    Chuchote moi…chuchote le moi encore que tu n’aimeras que moi.


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  • Une main qui te convient, et qui trace ton chemin, mais au bout, une autre qui la tient.

    La vie est belle loin des joueurs de cœur...

    Arrache-moi les ailes mais brûle ton orgueil,

    J'oublie de t'oublier

    Transforme-moi,

    Devenir ses mains pour retrouver ta peau,

    Être ses lèvres pour refondre sous les tiennes,

    Être ses yeux pour revoir briller les tiens,

    Être ses oreilles pour t'entendre dire je t'aime, je t'aime, je t'aime...AH!!

    Réveil brutal, rêve qui remballe ses illusions astrales.

    Souviens-toi amour, le lac aux étoiles

    Toi+moi, besoin de rien,

    Le spectacle d'une nuit filante annonçait finalement l'heure d'une fin imminente.

    La vie est belle loin des joueurs de cœur...

    Depuis quand m'as tu rendu mon cœur, je ne me sens plus vivre, j'étouffe,

    Je ne me souviens plus. Que fais-tu?

    Celle qui a pris ma place me rend de glace.

    Devenue spectatrice de mon propre rôle,

    Hélas,

    Je deviens lasse d'avoir encore pu croire que rien ne se casse.

    Hantée de toi, de nous.

    Tétanisée sur le canapé je me vois dépérir dans ton reflet.

    Je hante ces lieux ou tant de jours nous vécûmes heureux

    La vie est belle loin des joueurs de cœur...

    Pardonne ma colère, pardonne ma haine,

    Pardonne l'enfer dans lequel tu m'as plongée.

    Je t'aime et te hais. Aimer à la haine. Haïr l'amour?

    Etrange conclusion paradoxale d'une histoire banale

    Mais la vie est belle loin des joueurs de cœur...


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